Mission et objectifs

L’unité mixte de recherche Biologie de la Reproduction, Environnement, Epigénétique et Développement (BREED) étudie les effets de l’environnement au sens large sur la reproduction, le développement au cours de la vie embryonnaire et fœtale et la santé des descendants. Elle associe des chercheurs et des cliniciens hospitaliers et vétérinaires pour des recherches agronomiques et biomédicales. L’objectif scientifique est de comprendre et maîtriser les mécanismes de programmation épigénétique au cours de la vie anténatale conduisant à la naissance d’un individu en bonne santé, fertile et robuste, capable de s’adapter aux changements de son environnement.

Collaborations et expertises

L’unité héberge 3 agents de l’union de coopératives d’élevage ALLICE avec un laboratoire commun financée par l’ANR (LabCom SeQuaMol)

Les collaborations sont très nombreuses, dont :

• dans INRAE : avec des unités des départements PhASE (PRC, GenPhySE), GA (GABI), AlimH (TOXALIM, DMEM, PhAN), MICA (MICALIS) et MIA (MaIAGE).
• en France : avec des unités INSERM, ANSES, CNRS, INRS, institut Pasteur, MNHN, ChimieParisTech, CEA, avec des instituts techniques (IFCE, IDELE) et avec des hôpitaux (AP-HP, hôpital FOCH, CHU Toulouse).
• en Europe : en Allemagne (EMBL, U. Halle), Autriche (U. Graz), Belgique (U. Liège), Danemark (U. Copenhague), Espagne (SERIDA), Hollande (RIVM), rlande (UCD, Teagasc), Royaume-Uni (Southampton, Swansea), Suède (Göteborg), Suisse (EMPA, ETH Zürich, U. Lausanne).
• dans le reste du monde : en Australie (Melbourne), au Brésil (Manaus, Pelotas), au Japon (NARO, Tokyo), en Thailande (Chulalongkorn), aux USA (USDA, UC Davis, Florida, Toledo).

L’unité est experte en biologie du développement embryonnaire chez les mammifères, pour l’étude des échanges mère-fœtus (endomètre, placenta), des effets de la nutrition maternelle et de son exposition aux nanoparticules. Ses compétences en épigénétique chez les mammifères modèles et d’élevage sont reconnues internationalement, ainsi que son expérience en édition du génome (lapin, petits ruminants). Son expertise en imagerie est valorisée dans la plate-forme  labellisée MIMA2 (https://www6.jouy.inrae.fr/mima2).

Enseignement

L’unité compte 5 enseignants-chercheurs de l’Ecole Nationale Vétérinaire d’Alfort, ainsi que 2 enseignants-chercheurs et 7 enseignants chercheurs–praticiens hospitaliers de l’Université Versailles-Saint-Quentin. Les chercheurs sont aussi impliqués dans de nombreuses formations aux niveaux Masters 1 & 2 et école d’ingénieur (160h par an).